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  • Bonjour. Je suis un homme bi, qui adore se masturber. Je me branle au moins deux fois par jour. Pour me donner du plaisir tout est bon : gadgets sexuels, vidéo, etc... Je vais tout vous montrer
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  • : 12/02/2009
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  • : La plupart des autres blogs se contentent de piller le net. Moi, j'offre du matériel inédit en me mettant en scène. Blog d'un fou de masturbation, de bites et de photos. Rien que des photos perso et inédites de branles en boxer, string, etc...
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- Potes de branle

Mercredi 21 mai 3 21 /05 /Mai 09:09

Vendredi, 17h. cela fait presque une heure que Marc et moi nous nous tripotons la queue, soit en se branlant l’un devant l’autre, soit en s’astiquant mutuellement. Nous sommes chez Marc, tous les 2 nus sur son lit. Nos bites décalottées sont bien tendues. Marc est allongé sur le dos, jambes écartées. Sa grosse bite pointe vers le plafond. Elle tient toute seule. Il bande comme un âne et je ne peux pas m’empêcher de me pencher vers lui pour lécher sa formidable érection. Ma langue s’attaque au gland qu’elle pourlèche. Puis je descends le long de sa tige de chair que je salive copieusement. Marc gémit et se cambre, poussant sa bite en avant pour me l’offrir d’avantage. je prends le gland entre mes lèvres, je le laisse entrer dans ma bouche et je le suce comme un gros fruit mûr. Les yeux fermés, je savoure sa bite que je fais lentement aller et venir entre mes lèvres. Je suis bien avec cette queue dans ma bouche. Je pourrais rester des heures à la sucer…

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Je sens les mains de Marc qui parcourent mes cuisses, mes fesses, mon membre dressé. Il m’attrape les jambes et me force à basculer sur le lit. Je me laisse faire et me retrouve sur le dos. Marc me prend la queue et la branle d’une main. De l’autre, il caresse mes couilles. Il dit dans un soupir :

- Oh putain, j’ai trop envie de te la sucer…

 Je sais qu’il n’a jamais fait ça et, qu’au fil de nos rencontres, c’est devenu son principal fantasme. Je tends la main vers lui pour caresser sa bite. Je l’encourage :

 - Vas-y, fais-le… Laisse-toi aller… Fais ce que tu as envie. Ma bite est à toi. Amuse-toi avec, ne te retiens pas…Timidement, il se penche sur mon bas-ventre. Il tient ma bite à sa base et fixe mon gland comme fasciné. Je le branle un peu plus vite, comme pour l’encourager. il sort sa langue et la passe doucement sur la pointe de mon gland, comme s’il le goûtait. Je gémis de plaisir et il s’enhardit, l’échant ma tige raide.

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Il passe un long moment à jouer de sa langue sur mon gland. Je lui dis que c’est bon, qu’il me donne beaucoup de plaisir. Ses caresses deviennent plus affirmées. Il a fermé les yeux pour apprécier cette première bite de sa vie…

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Prenant de l’assurance, il finit par me prendre dans sa bouche. Ses lèvres chaudes enveloppent mon gland. Il s’allonge sur le flanc pour être plus à l’aise. je pivote légèrement et place ma tête face à son ventre. Sa queue tendue n’attend que ma bouche… je pose une main sur ses fesses et je l’attire vers moi. Je happe son gros gland et on se met à se sucer mutuellement dans un long 69. Ente 2 coups de langue, il me dit :

- Putain, Alain, je suis en train de te sucer ! Je suce une queue pour la première fois ! C’est trop bon. J’ai l’impression d’être dans un rêve…

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Au bout d’un long moment, à la limite de l’éjaculation, on relâche nos queues et Marc vient sur moi. On se branle tous les deux et très vite nos spermes fusent…

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Par fou de branle - Communauté : Jouir et plaisir
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Vendredi 16 mai 5 16 /05 /Mai 09:43

Deux jours sans me vider les couilles. Pourtant je me suis régulièrement branler, presque à la limite de l’éjaculation, mais à chaque fois je ne suis pas allé jusqu’au bout. C’est un jeu que nous pratiquons avec Marc : on se chauffe, on se fait monter la pression en prévision de nos rencontres. Parfois on s’excite au téléphone, chacun sur son lit, la bite à la main. Le plus souvent, on s’envoie des mails accompagnés de photos.

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Après 2 jours de «mise en condition», je me sens super excité. J’ai la sensation que mes couilles sont pleines, j’ai l’impression de sentir mon sperme sous pression. Je sens ma queue alourdie, comme si elle était en permanence à demi bandée. Marc est dans le même état que moi et dès qu’on se retrouve nos bites raidissent presque instantanément.

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On aime se retrouver ainsi, le pantalon sur les chaussures, le slip à moitié baissé et la queue tendue. C’est vraiment excitant de voir nos bites qui semblent se tendre l’une vers l’autre. Sans se toucher, on passe de longues minutes à contempler nos tiges raides qui se font face. On se presse l’un contre l’autre, hanche contre hanche et nos glands se frôlent, se touchent…

Finalement, on prend nos bites en mains pour se branler l’un contre l’autre. le contact de nos chairs chaudes et tendues est plus franc. Tout en se branlant, on écrase nos glands l’un contre l’autre. parfois on change et chacun manipule la bite de l’autre.

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L’excitation est de plus en plus forte et, finalement, on se met à poils sur le lit. Marc aime bien venir sur moi pour presser sa tige raide contre la mienne. Le voir se branler contre moi est un spectacle extraordinaire qui suffirait à me faire juter. J’aime voir et sentir sa grosse trique coulisser contre la mienne. Parfois il attrape nos 2 bites dans sa main et les branle l’une contre l’autre. On a l’impression qu’il possède 2 queues. Il nous branle au même rythme et on gémit ensemble.

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Des gouttes de lubrifiant translucide pointent au bout de nos glands. Le sperme monte. La tension consécutive à ces 2 jours d’abstinence est trop forte et bien vite, on éprouve le besoin de se vider les couilles, de se soulager, de laisser gicler nos foutres… Chacun empoigne sa queue et se masturbe sur le même rythme que l’autre. c’est moi qui vient en premier. Quand je n’ai pas joui depuis plusieurs jours, mon sperme, plus concentré, est blanchâtre et épais. Dans un râle de plaisir, je le laisse fuser. Mon foutre arrose mes doigts, mon bas-ventre et se mêle à mes poils.

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Toujours au-dessus de moi, Marc s’astique tout en me regardant me vider. Je vois sa queue de profil, elle est belle, bien raide, bien recourbée, son gland écarlate ressemble à un fruit trop mur sur le point d’exploser. il se branle à 2 doigts, lentement. Le salaud prend tout son temps et savoure la lente montée de son sperme le long de sa trique. Finalement sa queue est prise de soubresauts et le foutre sort épais et crémeux. Il ne gicle pas avec force, mais s’échappe à gros bouillons de sa bite.

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Par fou de branle - Communauté : Jouir et plaisir
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Vendredi 9 mai 5 09 /05 /Mai 14:55

Marc et moi nous sommes de vrais fans de branle. On peut même dire que nous sommes des passionnés au point d’y consacrer une bonne heure par jour.  Quand on se branle, même si le but est de se vider les couilles, on cherche à se procurer du plaisir le plus longtemps et le plus intensément possible. Dans la journée j’essaie d’être dans un état de tension sexuelle permanente. Par exemple, le matin, lorsque je me réveille avec une érection, je me tripote doucement encore à moitié endormi, m’abandonnant à des rêves porno à demi éveillé. Mais je ne me fais pas jouir, je bande, je suis même vraiment très dur, mais je ne vais pas jusqu’au bout. Je ne me vide pas les couilles. Je prends ma douche et je pars bosser. En général, n’ayant pas assouvi mes envies sexuelles, j’ai des images érotiques plein la tête, et une bonne partie de la journée, j’ai la sensation de ma queue dans mon pantalon. J’ai l’impression qu’elle est plus lourde, plus grosse. Je sens mes couilles pleines, je sens que j’ai besoin de les vider… Je ne sais pas ce que ressent une femme qui se balade toute la journée avec des boules de geisha dans la chatte, mais j’imagine qu’elle éprouve peut être la même chose : on se trouve en permanence dans un état de pré excitation sexuelle.

Quand, enfin, j’ai décidé de me branler, je prends le temps de bien jouer avec ma queue, de l’amener à sa raideur maximale et de la maintenir le plus longtemps possible dans un été de pré éjaculation. Cela demande de la concentration et du self contrôle, mais ce n’est pas bien compliqué et le jeu en vaut vraiment la chandelle car lorsque la jouissance arrive enfin, la sensation est vraiment énorme, c’est comme une explosion de plaisir, comme une délivrance. Ma queue est tellement tendue que l’éjaculation est presque douloureuse. C’est comme une vague de fond qui monte des couilles et qui submerge le corps intégralement. Ca vous soulève littéralement de plaisir et ça vous laisse pantelant, le souffle court et le corps complètement vidé.

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A force d’échanger des mails avec Marc au début de notre rencontre sur le net, nous nous sommes vite rendu compte que nous partagions ce même art de la branle. Aussi, quand nous nous voyons nous essayons de nous branler ensemble selon les mêmes principes que lorsque nous sommes seuls. Cela n’est pas évident car à 2 l’excitation est bien sur plus forte et nous devons faire des efforts pour nous retenir de juter trop vite.

Pour nous aider, nous faisons durer les préliminaires. On ne se met pas à poils tout de suite, on commence par se toucher à travers nos vêtements. On aime particulièrement se palper le paquet dans nos slips. Avant de se toucher, on prend plaisir à se mater, à regarder les bosses de plus en plus grosses que forment nos queues dans nos slips. Je ne suis pas fétichiste des  sous-vêtements, mais je prends vraiment du plaisir à toucher une queue et des couilles à travers le slip de mon partenaire. J’aime explorer à travers le tissu la forme de la bite. J’aime en sentir la chaleur au travers du tissu. J’aime deviner la bite qui grossi et qui tend le slip…

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Donc on se tripote très longuement tout en se déshabillant très lentement. Quand, enfin, on se retrouve nus l’un devant l’autre, nos bite sont tendues à l’extrême. On passe alors du temps à explorer le sexe de l’autre. On touche la bite doucement, du bout des doigts. On se soupèse les couilles. On tire sur la peau du prépuce pour bien décalotter le gland, mais on ne se branle pas encore. On joue lentement chacun avec la bite de l’autre, comme si c’était la première fois que nous touchions un sexe masculin.

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On s’amuse aussi, a s’asseoir face à face pour que nos bites bandées puissent s’effleurer, se toucher. On presse nos glands l’un contre l’autre. parfois on se rapproche jusqu’à ce que nos couilles se touchent et que nos tiges se plaquent l’une à l’autre. on reste alors qq minutes sans bouger, pour savourer la sensation de cette bite bandée contre sa propre bite. On a pas besoin de s’aider de nos mains pour se procurer du plaisir. Il suffit que l’on bouge un peu nos bas-ventre d’avant en arrière pour que nos sexes se branle l’un contre l’autre.

 

Marc et moi nous connaissons bien nos corps et nous savons ce que l’autre aime. Aussi, sans même se parler on e procure un intense plaisir que l’on prolonge très longtemps. Parfois, chacun branle sa propre queue, d’autres fois, on branle chacun la queue de l’autre. D’autres fois encore, l’un de nous branle les 2 queues, soit chacune dans une main, soit serrées l’une contre l’autre dans une seule main. Quand on sent que la jouissance est trop proche, on lâche nos bites et on se contente de les contempler en attendant que la tension retombe un peu.

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Au bout d’un très long moment, sans échanger un mot, on sent que le temps de la délivrance est arrivée. On le lit dans nos yeux, dans nos souffles rauques, dans la tension qui anime nos corps, dans les soubresauts de nos membres bandés à l’extrême. alors chacun saisit sa bite à pleine main, serrant un peu les doigts pour que le gland gonfle encore davantage, puis on se branle en va-et-vient de plus en plus rapide. Souvent, sans même se concerter, on soulève nos bas-ventre, pour que nos sexes se rapproche encore plus. Nos glands se frôlent, se touchent, se caressent… puis, comme sur un signal muet, on se met à juter pratiquement ensemble. Les yeux écarquillés on contemple nos jets de sperme qui fusent les uns vers les autres. On se vise pour s’asperger de liqueur chaude. Le sperme dégouline sur nos glands, sur nos doigts, jusque sur nos couilles. Parfois, lorsque nous sommes très proches, nos foutres se réunissent en une petite flaque blanchâtre et visqueuse…

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Par fou de branle - Communauté : Jouir et plaisir
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