Deux jours sans me vider les couilles. Pourtant je me suis régulièrement branler, presque à la limite de l’éjaculation, mais à chaque fois je ne suis pas allé jusqu’au bout. C’est un jeu que nous pratiquons avec Marc : on se chauffe, on se fait monter la pression en prévision de nos rencontres. Parfois on s’excite au téléphone, chacun sur son lit, la bite à la main. Le plus souvent, on s’envoie des mails accompagnés de photos.
Après 2 jours de «mise en condition», je me sens super excité. J’ai la sensation que mes couilles sont pleines, j’ai l’impression de sentir mon sperme sous pression. Je sens ma queue alourdie, comme si elle était en permanence à demi bandée. Marc est dans le même état que moi et dès qu’on se retrouve nos bites raidissent presque instantanément.
On aime se retrouver ainsi, le pantalon sur les chaussures, le slip à moitié baissé et la queue tendue. C’est vraiment excitant de voir nos bites qui semblent se tendre l’une vers l’autre. Sans se toucher, on passe de longues minutes à contempler nos tiges raides qui se font face. On se presse l’un contre l’autre, hanche contre hanche et nos glands se frôlent, se touchent…
Finalement, on prend nos bites en mains pour se branler l’un contre l’autre. le contact de nos chairs chaudes et tendues est plus franc. Tout en se branlant, on écrase nos glands l’un contre l’autre. parfois on change et chacun manipule la bite de l’autre.
L’excitation est de plus en plus forte et, finalement, on se met à poils sur le lit. Marc aime bien venir sur moi pour presser sa tige raide contre la mienne. Le voir se branler contre moi est un spectacle extraordinaire qui suffirait à me faire juter. J’aime voir et sentir sa grosse trique coulisser contre la mienne. Parfois il attrape nos 2 bites dans sa main et les branle l’une contre l’autre. On a l’impression qu’il possède 2 queues. Il nous branle au même rythme et on gémit ensemble.
Des gouttes de lubrifiant translucide pointent au bout de nos glands. Le sperme monte. La tension consécutive à ces 2 jours d’abstinence est trop forte et bien vite, on éprouve le besoin de se vider les couilles, de se soulager, de laisser gicler nos foutres… Chacun empoigne sa queue et se masturbe sur le même rythme que l’autre. c’est moi qui vient en premier. Quand je n’ai pas joui depuis plusieurs jours, mon sperme, plus concentré, est blanchâtre et épais. Dans un râle de plaisir, je le laisse fuser. Mon foutre arrose mes doigts, mon bas-ventre et se mêle à mes poils.
Toujours au-dessus de moi, Marc s’astique tout en me regardant me vider. Je vois sa queue de profil, elle est belle, bien raide, bien recourbée, son gland écarlate ressemble à un fruit trop mur sur le point d’exploser. il se branle à 2 doigts, lentement. Le salaud prend tout son temps et savoure la lente montée de son sperme le long de sa trique. Finalement sa queue est prise de soubresauts et le foutre sort épais et crémeux. Il ne gicle pas avec force, mais s’échappe à gros bouillons de sa bite.