Certains jours, j'ai envie de me faire prendre. Je me sens comme une femme qui a envie de sentir une bonne bite coulisser au fond d'elle... J'ai envie d'être rempli, d'avoir un membre épais et long, chaud et dure, tout au fond de moi.
Je suis prêt : d'un même mouvement j'écarte mon string et j'ouvre ma raie, exposant mon trou qui ne demande qu'à être investi... Regardez comme je m'offre, allongé sur le ventre, le cul pointé, la raie évasée... Je veux sentir un gros gland se glisser entre mes fesses, frotter contre ma rondelle, puis la forcer doucement et s'enfoncer inexorablement, jusqu'aux couilles. J'adore cette sensation de remplissage quand le bite est tout au fond. J'aime me sentir comblé. Puis, quand je me suis habitué à cette présence dans mon cul, je remue mon bassin pour donner le signal de la baise... Et, le cul dilaté, je me laisse défoncer jusqu'à ce mon sperme fuse...
Voici "Alwaysup" (en gros ça veut dire : toujours debout), un Américain bisexuel, qui a un fort bel engin!
Joli missile, non?
Notre ami adore se masturber en extérieur.
Vraiment une belle tige, bien droite.
Pour terminer, quelques photos de son ventre souillé de foutre chaud
Ca gicle fort et loin!
Des volontaires pour nettoyer tout ça?
J’ai imaginé la suite du récit. Voici ce qui se serait passé si Solange, Pierre et le jeune type avaient osé poursuivre l’aventure commencée au cinéma…
Je tenais le sac de Solange pendant qu’elle fermait son manteau. Nous étions arrêtés sur le trottoir et le jeune type nous regardait en se balançant d’un pied sur l’autre sans oser approcher. Solange lui a jeté un coup d’œil discret. Je lui ai demandé s’il lui plaisait.
- Il est pas mal. Et toi, il te plaît ?
Je ne savais quoi répondre. Bien sûr qu’il ne me plaisait pas comme une femme peut me plaire, mais j’étais sous le coup de l’excitation de la scène du cinéma. Je revoyais la queue du jeune type et surtout la queue du mec que j’avais branlé. Sans réfléchir d’avantage, j’ai lancé comme un défi :
- Tu veux qu’on baise tous les trois ?
Solange a rougi, embarrassée. Mais elle n’a rien dit. Sans la laisser reprendre ses esprit, je me suis dirigé vers le jeune type.
- Je vais lui demander.
Ma conduite me surprenait autant qu’elle devait surprendre Solange. J’ai abordé le gars directement en le tutoyant.
- Tu veux venir avec nous ?
Pas besoin d’être plus explicite. Il savait parfaitement ce que j’avais en tête. Une minute plus tard, nous marchions tous les trois vers mon appartement. Un peu gênés, nous parlions du bout des lèvres. Le gars se prénommait Eric et avait 24 ans. Arrivés chez moi, nous avons quitté nos manteaux. Muette, Solange semblait très gênée. De peur qu’elle ne change d’avis, je l’ai prise dans mes bras pour l’embrasser avidement. D’abord tendue, j’ai vite senti qu’elle se laissait aller. Mes mains parcouraient son corps pour l’affoler. Je palpais son cul, ses seins. Les yeux fermés, elle se laissait faire, répondant de plus en plus passionnément à mes baisers. Eric nous regardait. Je lui ai fait signe d’approcher dans le dos de Solange. Sans se faire prier, il s’est collé contre elle. Elle a grogné en sentant Eric se plaquer contre son dos, mais elle n’a pas protesté. Coincée entre nous deux, elle s’abandonnait à nos caresses. A tâtons, j’ai déboutonné son chemisier et les mains d’Eric sont aussitôt parties explorer sa poitrine. Elle a gémi lorsqu’il lui a empoigné les seins. Sans la laisser reprendre ses esprits, je me suis mis à lui caresser la chatte à travers son pantalon. De ma main libre, j’ai ouvert son vêtement. Je bandais comme un âne et je dois avouer que c’était davantage dû à la présence du jeune type qu’à celle de ma copine…
J’embrassais toujours Solange, sans la laisser reprendre son souffle. Eric m’a aidé à lui retiré son chemisier, puis on lui a baissé son pantalon. J’ai glissé ma main dans sa culotte pour la branler pendant qu’Eric lui enlevait son soutien-gorge. Très vite, elle s’est trouvée nue entre nous deux. Je l’ai entraînée vers le canapé. Aussitôt assise, elle s’est mise à palper nos braguettes. Je savais que c’était gagné, qu’elle ne reculerait plus…
Eric et moi étions debout côte à côte devant elle. Ses mains s’affairaient sur nos pantalons, ouvrant nos braguettes, palpant nos paquets à travers nos slips. Nous nous sommes retrouvés les pantalons sur les chaussures, nos chemises sur le sol, en sous-vêtements devant Solange. Eric bandait autant que moi, sa bite déformait son slip, soulevant le tissu.
Solange lui palpait les couilles. Elle m’a regardé.
- Vas-y, touche-le. Montre-moi comme tu aimes avoir la bite d’un autre mec dans la main.
Je me suis penché vers le paquet d’Eric. Mes doigts ont suivi le contour de sa tige moulée dans le tissu. Solange a retiré sa main pour que je puisse m’en occupé complètement. Je sentais la chaleur de la tige à travers le slip. Mes doigts passaient et repassaient sur le paquet du jeune type. Je percevais la rondeur de ses couilles, la grosseur de son gland, l’élasticité de sa tige raide. J’ai posé ma main libre sur ses fesses, palpant son cul à travers le slip. Je le touchais devant et derrière, avec gourmandise, comme un enfant qui retarde le moment de déballer son cadeau pour avoir encore plus de plaisir.
- Tu aimes ça, salaud, m’a dit Solange en baissant mon slip et en voyant ma trique se dresser vers le plafond.
Elle avait raison : j’aimais tripoter un autre mec, j’aimais sentir que je faisais durcir sa queue. Eric m’a mis une main aux fesses et ça aussi ça m’a plu, autant, sinon plus que les attouchements de Solange sur ma queue. J’avais envie de voir la bite du mec, alors j’ai tiré sur l’élastique de son sous-vêtement, libérant son gland décalotté. Je regardais cette belle trique qui dépassait du slip comme stupéfié.
C’est Solange qui a complètement baissé le sous-vêtement du mec.
- Vas-y, branle-le !
Comme si je n’attendais que ce signal, je me suis littéralement jeté sur la bite d’Eric. Mes doigts se sont refermés sur sa tige raide et douce que j’ai fait coulisser dans mon poing.
En même temps, je lui pelotais le cul. Il m’a fait la même chose, et Solange s’est adossée contre le canapé pour nous regarder tout en se caressant doucement la fente. Elle prenait beaucoup de plaisir à contempler deux hommes en train de se masturber…
Debout, côte à côte, cuisse contre cuisse, on se branlait Eric et moi. On se touchait aussi le cul de l’autre main. Les doigts d’Eric glissaient fréquemment entre mes fesses pour effleurer mon petit trou. C’était la première fois qu’on me faisait ça et cela ne me déplaisait pas. Au contraire… Je branlais ma deuxième queue de l’après-midi et j’y trouvais un plaisir énorme… Je ne cherchais pas à comprendre ce qui m’arrivait. Je ne pensais qu’à prendre et à donner du plaisir.
Solange s’est levée pour nous céder le canapé.
- Asseyez-vous là. Je veux vous regarder vous branler à fond !
Ces yeux brillaient comme si elle avait la fièvre. Ses doigts s’enfonçaient dans sa chatte avec un bruit humide.
Je ne l’avais jamais vu aussi excitée…
Excité, je l’étais également. Et Eric aussi. Nous nous sommes assis, nus, légèrement tournés l’un vers l’autre. On a largement écarté les cuisses pour que chacun ait accès à la queue dressée de l’autre. Nos bites pointaient toutes seules vers le plafond. Solange s’est accroupie devant nous en se branlant.
D’un même mouvement, Eric et moi, on a attrapé chacun la queue de l’autre et on a commencé à se branler comme des salauds. Je regardais sa trique qui coulissait dans ma main et lui regardait la mienne. J’avais l’impression qu’on avait oublié la présence de Solange… On ne pensait qu’à nos plaisirs de mâles… Durant de très longues minutes, on a joué avec nos bites et nos couilles. C’était fantastique de sentir la tige raide et chaude d’un autre mec entre mes doigts. Je savais que c’était moi qui le mettait dans cet état. J’en éprouvais une fierté mêlée à une formidable excitation. Mais a aucun moment, je n’ai éprouvé de honte ou même de gêne. Je prenais mon temps pour jouer avec cette belle tige, pour soupeser ces couilles imberbes. De temps en temps, je caressait l’intérieur des cuisses d’Eric, son bas-ventre, je remontais jusque sur ses pectoraux…
De nos gorges sourdaient des grognements de plaisir. Nos souffles se précipitaient. Nos glands étaient très rouges, très dilatés, comme de gros fruits murs sur le point d’éclater. Jamais je ne m’étais senti aussi excité. Il n’aurait pas fallu me le demander 2 fois pour que je me penche pour prendre ce magnifique gland dans ma bouche.
Mais le plaisir était trop fort, et je n’ai pas eu le temps d’en arriver là. Eric s’est mis a grogner fortement. Sa queue s’est raidi dans ma main. Je l’ai senti palpiter entre mes doigts. Une goutte blanche est apparue au trou du bout de son gland. Et le sperme a fusé.
Une puissante giclée à sauter en l’air et a atterri jusque sur ma cuisse. Je n’ai pas lâché cette bite qui éjaculait entre mes doigts. D’autres giclées ont suivi. Le sperme chaud a coulé sur ma main.
Ce spectacle a précipité ma jouissance et je me suis vidé à mon tour dans la main d’Eric. La libération a été fulgurante, comme si je n’avais pas joui depuis des jours. J’ai expulsé mon foutre dans un cri libérateur. Je sentais la jute parcourir chaque millimètre de ma queue.
Quand nous avons repris notre souffle, nous avons lâché nos bites qui commençaient à ramollir. J’ai senti une gêne s’installer. Mais Solange s’est jeté sur nous sans nous laissé réfléchir à la situation. De sa langue gourmande elle s’est mise à nettoyer nos bas-ventre, léchant nos queues, des couilles jusqu’au gland, lapant nos spermes comme un animal.
Bien évidemment, cela nous a refait bander aussitôt. Elle avait envie de jouir et elle ne nous a passé laissé recommencé à s’amuser entre hommes. Nous l’avons baisée chacun notre tour. Pendant que l’un l’a prenait à quatre patte ou sur le dos, l’autre se faisait sucer. Nous lui avons donné plusieurs orgasmes et a la fin, elle a voulu qu’on se soulage ensemble sur son visage. C’était le genre de chose qu’elle me demandait quand elle était vraiment excitée. Preuve que cette séance à trois et les rapports entre hommes l’avaient excitée autant que moi…
Eric et moi nous nous sommes masturbés côte à côte devant son visage. Nos spermes ont fusé quasiment en même temps. Bien qu’ayant joui chacun déjà deux fois, nous l’avons copieusement arrosée. Elle avait du foutre plein le visage et se passait la langue avec gourmandise sur les lèvres pour récupérer ce qu’elle pouvait.
Plus tard, une fois Eric parti, nous avons pris une douche ensemble. Solange m’a savonné, instant sur mon bas-ventre et ma raie des fesses. Ma queue couverte de savon s’est dressée à nouveau.
- Ben dis donc, qu’est-ce que tu es excité cet après-midi ! C’est moi qui te met dans un tel état ?
j’ai répondu oui, bien évidemment. Mais, alors qu’elle me branlait sous le jet d’eau chaude, j’imaginais que c’était la main d’un autre homme qui coulissait sur ma queue. Et, quand je l’ai plaqué contre le mur pour lui enfoncer ma queue dans l’anus, c’est le petit cul d’Eric que je rêvais de pénétrer…