Fou de branle - photos perso de branle, godes, slip...

Marc et moi nous sommes de vrais fans de branle. On peut même dire que nous sommes des passionnés au point d’y consacrer une bonne heure par jour.  Quand on se branle, même si le but est de se vider les couilles, on cherche à se procurer du plaisir le plus longtemps et le plus intensément possible. Dans la journée j’essaie d’être dans un état de tension sexuelle permanente. Par exemple, le matin, lorsque je me réveille avec une érection, je me tripote doucement encore à moitié endormi, m’abandonnant à des rêves porno à demi éveillé. Mais je ne me fais pas jouir, je bande, je suis même vraiment très dur, mais je ne vais pas jusqu’au bout. Je ne me vide pas les couilles. Je prends ma douche et je pars bosser. En général, n’ayant pas assouvi mes envies sexuelles, j’ai des images érotiques plein la tête, et une bonne partie de la journée, j’ai la sensation de ma queue dans mon pantalon. J’ai l’impression qu’elle est plus lourde, plus grosse. Je sens mes couilles pleines, je sens que j’ai besoin de les vider… Je ne sais pas ce que ressent une femme qui se balade toute la journée avec des boules de geisha dans la chatte, mais j’imagine qu’elle éprouve peut être la même chose : on se trouve en permanence dans un état de pré excitation sexuelle.

Quand, enfin, j’ai décidé de me branler, je prends le temps de bien jouer avec ma queue, de l’amener à sa raideur maximale et de la maintenir le plus longtemps possible dans un été de pré éjaculation. Cela demande de la concentration et du self contrôle, mais ce n’est pas bien compliqué et le jeu en vaut vraiment la chandelle car lorsque la jouissance arrive enfin, la sensation est vraiment énorme, c’est comme une explosion de plaisir, comme une délivrance. Ma queue est tellement tendue que l’éjaculation est presque douloureuse. C’est comme une vague de fond qui monte des couilles et qui submerge le corps intégralement. Ca vous soulève littéralement de plaisir et ça vous laisse pantelant, le souffle court et le corps complètement vidé.

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A force d’échanger des mails avec Marc au début de notre rencontre sur le net, nous nous sommes vite rendu compte que nous partagions ce même art de la branle. Aussi, quand nous nous voyons nous essayons de nous branler ensemble selon les mêmes principes que lorsque nous sommes seuls. Cela n’est pas évident car à 2 l’excitation est bien sur plus forte et nous devons faire des efforts pour nous retenir de juter trop vite.

Pour nous aider, nous faisons durer les préliminaires. On ne se met pas à poils tout de suite, on commence par se toucher à travers nos vêtements. On aime particulièrement se palper le paquet dans nos slips. Avant de se toucher, on prend plaisir à se mater, à regarder les bosses de plus en plus grosses que forment nos queues dans nos slips. Je ne suis pas fétichiste des  sous-vêtements, mais je prends vraiment du plaisir à toucher une queue et des couilles à travers le slip de mon partenaire. J’aime explorer à travers le tissu la forme de la bite. J’aime en sentir la chaleur au travers du tissu. J’aime deviner la bite qui grossi et qui tend le slip…

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Donc on se tripote très longuement tout en se déshabillant très lentement. Quand, enfin, on se retrouve nus l’un devant l’autre, nos bite sont tendues à l’extrême. On passe alors du temps à explorer le sexe de l’autre. On touche la bite doucement, du bout des doigts. On se soupèse les couilles. On tire sur la peau du prépuce pour bien décalotter le gland, mais on ne se branle pas encore. On joue lentement chacun avec la bite de l’autre, comme si c’était la première fois que nous touchions un sexe masculin.

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On s’amuse aussi, a s’asseoir face à face pour que nos bites bandées puissent s’effleurer, se toucher. On presse nos glands l’un contre l’autre. parfois on se rapproche jusqu’à ce que nos couilles se touchent et que nos tiges se plaquent l’une à l’autre. on reste alors qq minutes sans bouger, pour savourer la sensation de cette bite bandée contre sa propre bite. On a pas besoin de s’aider de nos mains pour se procurer du plaisir. Il suffit que l’on bouge un peu nos bas-ventre d’avant en arrière pour que nos sexes se branle l’un contre l’autre.

 

Marc et moi nous connaissons bien nos corps et nous savons ce que l’autre aime. Aussi, sans même se parler on e procure un intense plaisir que l’on prolonge très longtemps. Parfois, chacun branle sa propre queue, d’autres fois, on branle chacun la queue de l’autre. D’autres fois encore, l’un de nous branle les 2 queues, soit chacune dans une main, soit serrées l’une contre l’autre dans une seule main. Quand on sent que la jouissance est trop proche, on lâche nos bites et on se contente de les contempler en attendant que la tension retombe un peu.

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Au bout d’un très long moment, sans échanger un mot, on sent que le temps de la délivrance est arrivée. On le lit dans nos yeux, dans nos souffles rauques, dans la tension qui anime nos corps, dans les soubresauts de nos membres bandés à l’extrême. alors chacun saisit sa bite à pleine main, serrant un peu les doigts pour que le gland gonfle encore davantage, puis on se branle en va-et-vient de plus en plus rapide. Souvent, sans même se concerter, on soulève nos bas-ventre, pour que nos sexes se rapproche encore plus. Nos glands se frôlent, se touchent, se caressent… puis, comme sur un signal muet, on se met à juter pratiquement ensemble. Les yeux écarquillés on contemple nos jets de sperme qui fusent les uns vers les autres. On se vise pour s’asperger de liqueur chaude. Le sperme dégouline sur nos glands, sur nos doigts, jusque sur nos couilles. Parfois, lorsque nous sommes très proches, nos foutres se réunissent en une petite flaque blanchâtre et visqueuse…

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Ven 9 mai 2014 5 commentaires
j'apprécie vraiment tes récits et tes photos, super bandantes
frenzele - le 09/05/2014 à 16h04
Très excitant ce texte sur l'art de se branler, seul ou a deux. Et les photos sont vraiment très...mmmm!
André - le 09/05/2014 à 16h27
Quel régal, une nouvelle fois, vous êtes des tops branleurs, quel plaisir!
Merci de nous faire partager tout ça
Bonne continuation
Matiou - le 10/05/2014 à 06h45

merci pour ces compliments. a bientot pour de nouvelles branles!

fou de branle
Très suggestif.
Maintenir une excitation permanente, sans aller jusqu'au bout, sans éjaculer, je pratique, et ça peut durer plusieurs jours ...
Et vous n'avez jamais envie de vous sucer mutuellement ? Je crois que je ne pourrais pas résister ...
solo sexe - le 10/05/2014 à 08h51

Pour l'instant, j'ai sucé Marc, mais lui n'a pas encore sauté le pas...

fou de branle
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handjober38 - le 21/03/2020 à 01h52